Oh là ! là ! Ho là ! là!
C’est à pleurer encore une fois.
Tout simplement scotchée !
Mais qu’est-ce que c’est beau !
Daniel Lopez merci !
Musique à fond, plein écran, décollage !
Bonne fin de semaine à tous !
Oh là ! là ! Ho là ! là!
C’est à pleurer encore une fois.
Tout simplement scotchée !
Mais qu’est-ce que c’est beau !
Musique à fond, plein écran, décollage !
Bonne fin de semaine à tous !
Histoires d’étoiles, est un documentaire scientifique (0h45) qui raconte le cycle de vie d’une étoile, de sa naissance dans les gaz interstellaires jusqu’à sa mort, avec la participation d’astronomes internationalement renommés, et l’appui d’images prises, entre autres, par le télescope spatial Hubble en orbite terrestre. Partie 1 sur 2.
Si les étoiles naissent, elles meurent aussi. Géantes rouges, naines blanches, supernovae, ces découvertes révolutionnaires ont été faites par des chercheurs en avance sur leur temps tels que Fred Hoyle, Fritz Zwicky, parmi d’autres.
La première partie de ce documentaire, Histoires d’étoiles, s’intéresse plus particulièrement à notre étoile, le Soleil, brillant depuis cinq milliards d’années, et soumis à une lutte incessante entre la fusion nucléaire et la gravité.
La naissance d’une étoile mobilise des forces colossales. Tout commence dans d’immenses nuages de gaz et de poussière, sombres et froids, les nébuleuses. Alimentées par la fusion nucléaire, les étoiles brûlent de l’hydrogène et le transforment en hélium, libérant ainsi une prodigieuse quantité de lumière et de chaleur.
Le grand cycle de vie et de mort des étoiles anime les galaxies. Les premiers embryons de galaxies se sont condensés autour de cœurs de matière noire exotique et inconnue, le magma exhalé des forges brûlantes du Big Bang s’est rassemblé, puis ces nuages d’hydrogène et d’hélium primordiaux se refroidissent. Ils se contractent sous leur propre poids, la gravité fait son œuvre. Les atomes s’associent en molécules. La chaleur piégée au sein des nébuleuses s’évacue, l’avalanche s’instaure. La matière se concentre et se fragmente. Le mouvement cessera lorsque poindront des lueurs éclatantes…
Soumis à une compression terrible, le gaz surchauffé s’est embrasé. Il luit du feu de la fusion thermonucléaire. Les premières étoiles de l’Univers sont nées. Ces soleils primitifs sont de véritables monstres : 100 à 1000 fois plus massifs que notre astre du jour. Ils brûlent leur existence par les deux bouts. Puis, ils explosent en supernovae ou hypernovae cataclysmiques.
Depuis l’aube de l’Univers, les générations d’étoiles se succèdent inlassablement. Tour à tour, chacune ajoute sa nouvelle ‘pincée’ de noyaux de carbone, azote, oxygène, silicium ou fer, à la soupe cosmique. Notre galaxie, la Voie Lactée, s’enrichit toujours selon ce mode. En mourant, les étoiles dispersent le précieux fruit de leurs entrailles. « Nous sommes tous des poussières d’étoiles », disent les chercheurs poètes.
Une étoile, qu’est-ce que c’est ? « Une étoile se présente comme un immense globe de gaz chaud », définit Jean-Paul Zahn, astronome émérite au Laboratoire de l’Univers et ses théories à l’observatoire de Paris-Meudon. « Elle se distingue par sa source d’énergie interne. En effet, l’astre tire sa lumière des réactions de fusion thermonucléaire à l’œuvre dans son cœur. Au centre, les conditions sont si infernales que les noyaux d’atomes, surtout de simples protons, se heurtent avec violence. Du coup, des réactions vigoureuses s’amorcent. Le Soleil, comme la majorité des étoiles du Cosmos, utilise cette combustion de l’hydrogène. Notre astre du jour fonctionne à la manière d’une gigantesque bombe H autoentretenue, régulée et contrôlée. » Le rendement est important : 0,7 % de la masse se transforme ainsi en énergie, selon la fameuse équation de la relativité d’Albert Einstein, E=mc2.
À chaque seconde, le Soleil engloutit 600 millions de tonnes d’hydrogène. Ce faisant, il les convertit en hélium et 4 millions de tonnes disparaissent pour être transformées en pure énergie. « Dans sa bonté, mère-nature fabrique une vive puissance à partir de substance inerte. Le taux de change appliqué est avantageux, il équivaut numériquement à un facteur de 100 millions de milliards, ou 1017, le carré de la vitesse de la lumière ! « Dans ces conditions, l’annihilation totale d’un gramme de matière, le poids d’une cigarette, assurerait un jour de la consommation et l’activité d’une grande ville », indique l’ancien directeur des observatoires de Nice et Midi-Pyrénées – Toulouse.
2ème partie : cliquez sur l’image ci-dessous
J’ai été émue par la détresse de Galaxien, un blogger qui met tout un tas de reportages intéressants sur son site, qui a même payé pour qu’il n’y ait pas de pubs dessus, mais qui est dans une situation désespérée au point de proposer son site à la vente, ne l’ayant jamais fait monétiser, malgré le nombre de visiteurs. ( et malheureusement pour le moment la pub est le seul moyen de rémunération des contenus » gratuits »)
Alors je fais un appel, j’ai fait un petit don sur son site de quinze euros, et s’il en a mille comme cela et bien je crois qu’il ne sera pas obligé de vendre, ou alors je fais un appel aux acheteurs…. mais j’aimerais mieux qu’il continue lui.
Il y a quelques autres sites comme cela pour lesquels je n’hésiterais pas à faire ce genre de dons s’ils le mettent en place sur leurs blogs.
Je sais bien que nombre d’entre nous se fait suer à payer son loyer et est loin de rouler sur l’or, mais je mets quand même le lien sur ce site, au cas où quelqu’un…..
Voilà, je crois que c’est aujourd’hui que je vais savoir si je sers vraiment à quelque chose , et si diffusion et solidarité du net par les petites gens c’est vrai ou pas.
Je reblog car j’aime trop cette chanson en ce moment
Non, vous ne révez-pas, vous êtes bien éveillés : ceci Est !
Merci Monsieur Cameron Michael de nous le rappeler.
FABULEUX !
Bon week-end à tous. !
Cliquez sur l’image ci-dessous pour voir la vidéo
http://odhtv-replay.kazeo.com/astronomie/le-ciel-en-octobre-2013,a3823500.html